mercredi 2 octobre 2019

Jeune fille pisse dans sa couche sous son jean, puis fait caca

Cette jeune fille aux cheveux verts s'embarque pour un petit plaisir : faire pipi dans sa couche sous son jeans. Elle semble avoir en elle beaucoup plus que prévu puisque le pipi déborde rapidement, et elle est prise d'une envie de faire caca. Elle insiste sur la quantité, qu'elle n'avait pas anticipée, puis nous montre les dégâts !


Superbe jeune fille se soulage après sa séance de sport

Une superbe jeune fille, actrice porno, rentre chez elle après une séance de sport, et décide de soulager son envie de caca dans ses collants de sport. S'en suit une folle masturbation dans les dégâts...


Impressionnant caca dans des leggings

Cette femme, d'un certain âge, est une véritable star du caca culotte. Elle semble y prendre un réel plaisir et tourne souvent des vidéos dans lesquelles elle semble prête à craquer. Cette vidéo ne fait pas exception, on sent qu'elle ne peut plus lutter et explose dans son leggings rose.


Superbe accident devant la porte des toilettes

Une jeune femme au corps de rêve se trouve devant une porte de toilettes fermées, avec une envie de faire caca qui semble pressante. Elle se retient comme elle peut avant de laisser ses selles sortir dans sa culotte semi-transparente...


Caca du matin dans la couche

Une jolie jeune fille passe la matinée devant son ordinateur. Elle sirote un café en expliquant que cette routine matinale la fait aller aux toilettes systématiquement, sauf que cette fois elle a décidé de faire ses petites affaires dans une couche, pour son plus grand plaisir et le notre.


Jeune fille sur le canapé fait caca dans sa couche

Une jeune fille est chez son amie, portant une couche en secret. Son amie occupe la salle de bain alors qu'une grosse envie la prend. Elle ne trouve pas d'autre solution que de faire dans sa couche...


Histoire : Aya & Inès - L'accident d'Aya


Inès : “Aya, réveille-toi, on y va dans 10 min.”

C’est le son de la voix de sa grande soeur qui réveilla Aya ce matin. En émergeant doucement de son sommeil, elle se re-situait dans cet environnement familier : sa chambre d’enfance. Les vacances de Pâques étaient l’occasion pour elle de revenir chez ses parents, qu’elle voyait peu depuis qu’elle avait intégré son école de commerce à Lille.
La voix d’Inès, l’odeur des draps, et les effluves de café mélangées au pain grillé étaient surement le réveil qu’elle préférait. Il n’y a que chez elle qu’elle dormait d’un sommeil si profond et si réparateur. Sans doute était-elle rassurée par la familiarité des lieux, et la présence de sa soeur dans le lit au fond de la chambre.

Inès : “Debout la limace !”

C’est vrai ! Elle dormait si bien qu’elle avait oublié de mettre un réveil pour se préparer à aller nager avec sa soeur. Elle qui n’était ni matinale, ni sportive, espérait sûrement inconsciemment que sa soeur se démotiverait. C’était mal connaître Inès qui, à 25 ans, avait une hygiène de vie irréprochable et une pratique sportive aussi assidue que variée. Footing, yoga, natation. Inès aimait le sport, et le pratiquait régulièrement depuis toujours. Sa silhouette était dessinée par ces années de pratique. Elle était de taille moyenne, avec une jolie poitrine ferme, une taille fines et de jolies hanches enrobées dans des fesses dessinées. Bien que toutes les deux d’origine marocaine par leur maman, Inès et Aya avec les cheveux clairs, presque blonds. Les gènes de leur père, russe, avaient sans doute remporté la bataille dans l’expression de leur physionomie.

Inès : “Aya, je ne vais pas t’attendre ! Prépare-toi !”

Aya, elle, n’était pas sportive. Plutôt introvertie, elle aimait les activités d’intérieur. Devoirs, lecture et séries étaient ses loisirs préférés. Son introversion était une force dans ses études. Elles lui avaient permis d’être la première de sa famille à intégrer une Grande École : l’ESC Lille. A 23 ans, son manque d’activité physique commençait d’ailleurs à changer sa silhouette. Depuis quelques mois, elle prenait du poids. Le rythme de l’école de commerce, entre les repas d’étudiants et les soirées arrosées, y participait beaucoup. Aya était, comme sa soeur, de taille moyenne, mais sa poitrine était beaucoup plus généreuse. Sa taille était moins marquée et ses fesses moins bien dessinées. Elle avait une petite bouée et de légères poignées d’amour. Mais elle vivait très bien avec. De toutes façons, sa silhouette enrobée semblait beaucoup plaire aux garçons si elle en croyait les remarques qu’ils lui adressaient. Elle n’en profitait pas beaucoup, à cause de sa timidité, mais ça lui faisait du bien de sentir qu’elle était attirante. Elle avait donc décidé de profiter des vacances pour se reprendre en main. Cette séance de natation allait lui faire beaucoup de bien.

Aya sortit du lit, bien décidée à profiter de cette séance de natation avec sa soeur. Elle portait un petit haut et un short. Elle se rendit vers la cuisine pour embrasser sa mère. Un café l’attendait sur la table de la cuisine, et une assiette avec un tranche de pain grillé.

Maman : “Ca va ma chérie ? Bien dormi ?”
Aya : “Oui et toi ?”
Maman : “Très bien  ! Ca va mieux ce ventre ?”
Aya : “... Pas encore”

Aya n’était pas allé aux toilettes depuis 2 jours et avait été gênée par des ballonnements pendant la soirée de la veille. Sa mère lui avait donné deux pruneaux avec sa tisane hier soir. Mais ça n’avait eu encore aucun effet.

Maman : “Prends deux pruneaux avec ton café. Rien n’y resiste !”
Aya : “Oui, tu as raison”

Aya avala la tartine de beurre et confiture qu’elle s’était préparée. Puis les deux pruneaux secs.

Inès : “T’es prête ?”
Aya : “Encore 5 minutes !”
Inès : “T’es chiante Aya, ça fait 15 minutes que je t’attends, change-toi, je te fais ton sac et on y va.”
Aya : “D’accord, excuse-moi, je me dépêche”

Aya aurait aimé essayer de passer aux toilettes avant d’aller à la piscine, mais sa soeur ne l'attendrait pas plus, elle le savait. Après tout, des toilettes il y en a à la piscine si besoin. Depuis toute petite, la piscine avait eu un effet sur son transit. Elle ne savait pas si c’est l’odeur du chlore, le froid ou le contact de l’eau, mais elle devait souvent aller à la selle à la piscine. Cette séance tombait à point. Elle avala une dernière gorgée de café pour faire passer les pruneaux, et fila dans sa chambre. Sa soeur était déjà là, en train depaper leurs affaires.

Inès : “On fait sac commun. Je t’ai pris ton maillot, une serviette et mes anciennes lunettes de natation”
Aya : “Merci !”

Aya retira son short et son haut. Les deux soeurs n’avaient jamais eu, à l’égard l’une de l’autre, la moindre pudeur.

Inès : “Ho le joli petit buisson”
Aya : “T’es con !”

Inès faisait référence au pubis d’Aya. Elle n'était pas très assidue sur l’entretien de sa pilosité. Et puis elle aimait avoir des poils au vagin de toute façon. Elle enfila une culotte blanche un peu usée et détendue, piochée au hasard dans un tiroir de sa commode, une jupe longue “bohème”, un soutien gorge et un débardeur blanc.

Aya : “On y va ? Je t’attends !”
Inès : “Ha ha, très drôle !”

Aya et Inès prirent la direction de la porte.

Maman : “Vous y allez les filles ? Nagez bien !”
Inès : “Merci maman !”
Maman : “T’es allé aux toilettes Aya ?”
Aya : “T’es sérieuses maman ? J’ai 23 ans !”
Maman : “Ho ça va ! Allez filez.”

Aya et Inès claquèrent la porte de l’appartement et rejoinrent l'ascenseur.

Inès: “T’es allé aux toilettes Aya ?”

Inès imitait le ton de sa mère pour se moquer de sa soeur.

Aya : “T’en loupes pas une toi !”
Inès: “T’es constipée ?”
Aya : “Oui, depuis 2 jours… mais j’ai mangé des pruneaux, ça devrait finir par sortir si tu veux tout savoir”
Inès : “Tu te souviens quand on était petite ? Tu allais toujours chier aux toilettes de la piscine !”
Aya : “Ha ha. Oui, tu as raison. Et bien ce sera parfait, c’est exactement ce dont j’ai besoin !”
Inès : “Et bien allons-y ma cochonne !”
Aya : “Ha ha”

La porte de l'ascenseur s’ouvrit. Les filles sortirent de l’immeuble où vivaient leurs parents à Grenoble. La piscine était à 10 minutes à pied de chez leurs parents. Une chance pour aller nager régulièrement. Sur la trajet, elle bavardaient énergiquement. Inès racontait à sa petit soeur ses dernières aventures sentimentales avec un pompier rencontré grâce à une amie. Aya racontait ses soirées et décrivait ses nouvelles amies à sa soeur. La marche dans l’air frais et matinal de la ville faisait du bien à Aya. Elle sentait également qu’elle était en train de remettre de l’ordre dans son transit. Ses ballonnements s’étaient transformés en gaz, qu’elle échappait discrètement dans la rue. Sa soeur ne remarquait rien, et c’était tant mieux. Inès était moqueuse, elle ne manquait jamais une occasion. Lors d’un stop à un feu rouge, Aya essaya d’échapper un nouveau gaz. Elle se ravisa immédiatement en réalisant que ce n’était pas un pet qui venait d’atteindre la frontière de son anus ! Le feu passa au vert et Aya ressentit un soulagement. Elle commençait à avoir envie, et dans ces circonstances elle avait toujours du mal à se retenir quand elle était à l’arrêt. Le marche l’aidait à se retenir. Elle ressentait, dans ses intestins, les jours de constipations et l’effet des pruneaux et du café. Elle sentait comme une grosse masse solide contre son sphincter. Elle savait qu’il ne fallait pas traîner. Heureusement, la piscine était en vue !

Les jeunes filles parcoururent les derniers mètres jusqu’à l’entrée de la piscine, d’un pas énergique.

Arrivées au guichet, elles intègrent la file d‘attente pour le guichet. 5 nageurs les précédaient.

Inès: “On a de la chance, il n’y a pas trop de monde !”
Aya : “Oui”
Inès : “D’habitude, je ne fais pas du tout la queue. Avec ma carte, je peux franchir les portillon. Mais il faut qu’on te prenne un billet.”
Aya : “Oui, ok”

Aya répondait brièvement et partageait difficilement l’enthousiasme de sa soeur. Les 5 personnes devant elles n’étaient pas un bonne nouvelle. Elle commençait à vraiment avoir très envie de faire caca, et elle savait que l’attente, statique, serait un très mauvais moment. Alors qu’Inès se lançait dans de nouvelles narrades sur sa vie amoureuses, Aya se demandait si elle ne pouvait pas trouver une solution pour sortir de cette situation. Plus que 4 personnes, et ça lui semblait une éternité.

Aya : “Tu sais s’il y a des toilettes ici ?”
Inès : “Évidemment ! C’est une piscine. Et tu la connais bien ! Pourquoi tu me demandes ?”
Aya : “Non, je voulais dire ici. Avant de passer les portillons.”
Inès : “Ha ! Non, je ne pense pas. On ira une fois à l’intérieur, avant les douches. Moi aussi j’ai grave envie de pisser”.

Si seulement elle avait envie d’uriner… Aya avait une envie bien plus génante et elle sentait son corps s'impatienter. C’était de sa faute après tout… Si elle avait une meilleur hygiène alimentaire, elle n’aurait pas de problème de transit. Et après 4 pruneaux, et un café… Il ne fallait pas s‘étonner si les choses se pressaient. Elle sentit un spasm, comme si son intestin poussait. La masse à la frontière de son sphincter poussait très fort pour sortir. Elle s’immobilisa, aussi discrètement que possible, et serra fort les fesses. Elle avait réussi à retenir ses mains, qui étaient tentées de se porter vers ses fesses. Elle se retourna. De nouveaux nageurs avaient intégré la file d’attente. Comme si poser sa main sur son postérieur servait à quelque choses. Ce mouvement aurait trahi la situation embarrassante dans laquelle elle se trouvait. Le spasme était très difficile à contenir, mais avec soulagement, elle le sentit passer et regagna un peu de sérénité. Inès ne s’était rendu compte de rien, et c’était tant mieux. Cette petite victoire redonna un peu de confiance à Aya. Elle se sentit capable d’attendre encore un peu et de franchir l’étape du portillon ! Un peu détendue, elle reprit le cours de la conversation avec sa soeur. 
Quelques minutes s'étaient écoulées. Plus que deux nageurs avant elles. Les filles discutaient tranquillement quand Aya sentit cette sensation désagréable grandir à nouveau en elle. C’était comme si son ventre se figeait, et une douleur sourde devenait de plus présente. Ce spasme était beaucoup plus violent que le précédent. Et il s'accompagna, comme le redoutait, par une nouvelle poussée. Ses intestins faisaient cheminer ses selles qui se pressaient contre son anus. Elle sentait comme un pointe contre son intérieur. Elle essaya de maîtriser sa respiration et de se figer, les fesses contractées dures comme du bois. Elle savait que son corps “inconscient” finirait par gagner sur son corps “conscient”. Elle avait beau lutter, cette force semblait au dessus de sa capacité à résister. Ses joues rougissaient de l'effort qu’elle fournissait, et elle sentit quelques gouttes de sueur poindre sur son front. L’effort et la douleur étaient insupportables. Elle avait envie de céder, et de pleurer. Fort heureusement, elle sentit la poussée s’atténuer et le spasme disparaître doucement. Soulagée, elle comprit qu’elle venait de gagner cette nouvelle bataille.

Inès : “Ca va Aya ? Tu es toute rouge !”
Aya : “Oui oui, t’inquiètes. Il fait chaud ici !”
Inès : “Tu trouves ? Je trouve qu’il caille, j’ai toujours froid dans cette piscine. C’est ton envie de pisser qui te donne des sueurs froides ?”
Aya : “Ha ha ! T’es con. Tu me connais bien.”
Inès : “Courage ma petite limace, on y est bientôt”

C’était très bien comme ça. Inès savait qu’Aya avait besoin d’aller rapidement au toilettes. Et même si ce n’était pas pour la véritable raison, elle pourrait faire preuve d’empathie.

Quelques minutes s’écoulèrent, et ce fut enfin leur tour d’atteindre le guichet.

Inès : “Salut Solange !”
Guichet : “Salut Aya ! On ne te voit jamais les Samedis ! Tu viens nager en famille ?”
Inès : “On ne peut rien te cacher. Tu connais ma soeur Aya ?”
Guichet : “Non, mais avec une telle ressemblance, c’est facile de deviner que c’est ta soeur. Tu es la plus jeune des deux ?”

Depuis leur petite enfance, et avec leur proximité d’âge, les gens se trompaient souvent. Aya, qui était un peu plus costaude que sa soeur, passait souvent pour la grande.

Cette discussion était sympathique, mais Aya s’en serait bien passée. Elle sentait un nouveau spasme arriver, et elle était fatiguée par cette situation. La douleur, grandissant, la rendait irritable.

Aya : “Et non ! Les apparences sont trompeuses. Une place s’il vous plaît. Je pense que les nageurs suivants s’impatientent.”
Guichet : “Oui bien sûr. Tarif étudiant ?”

“Et merde” se dit Aya. “Ca recommence”. Elle sentait la douleur se déplacer dans son bas ventre, et la poussée qui l’accompagnait se faisait de plus en plus forte. Se retenir était insoutenable. Aya se figea, comme elle avait l'habitude de le faire. Droite comme un “i”, elle ne voulait surtout pas faire le moindre mouvement pour atteindre la carte d’étudiante perdue dans son sac à main.

Aya : “Non merci.”
Inès : “Bah ! T’es con ou quoi ? Tu économises 3 euros sur l’entrée. Papa et Maman ne te file pas de l’argent pour que tu le gaspilles !”
Aya : “Oui, ça va ok !”

“J’en peux plus” pensais Aya intérieurement. “Ca ne va pas, ça ne va pas, ça ne va pas”. Contrariée pas la situation, Aya avait du mal à garder son sang froid. Elle avait envie de tout envoyer balader et de courir aux toilettes pour enfin se débarrasser de ce poids. Les combats précédents avaient fatigué son corps. Et alors qu’un grand spame la parcourait, elle sentait que son anus n’avait plus la force de retenir ses selles. Fouillant énergiquement dans son sac à la recherche de sa carte étudiante, Aya sentait son anus s’ouvrir. Redoublant d’effort, elle réussissait à retenir la masse... mais pas la pointe de son caca. Elle sentait cette pointe se faufiler, tout doucement. C’est comme si son intérieur était ouvert, mais elle conservait suffisamment de tension pour maintenir cette ouverture la plus petite possible. Elle ne savait pas si c’était la réalité ou juste une sensation, mais elle avait l’impression que son caca touchait le tissu de sa culotte. Tout était trouble. La douleur, la peur et l'embarras lui faisaient tourner la tête. Ses mouvements étaient imprécis.

Enfin, elle saisit sa carte étudiante dans son sac. Elle alors qu’elle allait la brandir à la guichetière, la carte fut retenue par la hanse de son sac et tomba par terre.
 
Aya : “Merde.”

Sans réfléchir, Aya s’accroupit pour ramasser sa carte. Et une fois les jambes fléchis, elle prit conscience de son erreur. Son anus s’était ouvert. Tous ses efforts s’évanouissaient. Le caca avait franchi la barrière de son sphincter. Elle le sentit sortir et savait qu’à ce stade, elle ne l’en empêcherait pas. 

Aya : “Merde. Merde. Merde.”

Désespérée par la situation, Aya jurait. En forçant sur ses jambes pour retrouver la position debout, elle actionna ses abdominaux. Et ce qu’elle redoutait le plus arriva. Elle sentit son caca sortir. Son anus était complètement ouvert et elle était en train de déféquer. La matière était compacte et large. Elle sortait en continu, silencieusement. Aya fut suffisamment rapide pour retrouver une position où la maîtrise était plus facile. Une fois debout, elle reprit le contrôle et serra fort pour retenir le processus déjà entamé. Elle sentit son caca se couper. Mais trop tard, une partie était au fond de sa culotte entre ses fesses.

Inès : “Dis-donc t’es ronchon toi ! Pas la peine de jurer autant !”
Aya : “Tu as raison. Pardon. Tenez Madame”

Pendant que la guichetière imprimait son billet, Aya retrouva le contrôle. Ce spasme fatale s’éloignait et elle retrouvait ses esprits. Alors que la guichetière rassemblait les derniers éléments, Aya reprit conscience de la situation. Elle venait de faire caca dans sa culotte, sous sa jupe longue, qui cachait heureusement l’accident. Difficile de savoir quelle quantité lui avait échappée. Elle sentait comme une grosse mandarine entre ses fesses. Cette masse était chaude, ferme et glissante, retenue contre son sphincter par le tissu de sa culotte. Son embarras était immense, mais comme personne ne pouvait deviner la situation, elle tâchait de masquer ses émotions. 

Guichet : “Et voilà ! Bonne séance Inès et Aya !”

Aya saisit son billet et entrepris de suivre sa soeur pour passer le portillon. Elle sentait ses selles entre ses fesses et marcher lui procurait une sensation étrange. Les premiers pas firent glisser la masse qui finit par se trouver une place au fond de sa culotte. A chaque pas, elle sentait cette masse entre ses cuisses, frôlant son vagin. Cette sensation perturbante la forçait à légèrement changer sa démarche, tout en essayant de rester naturelle.

Inès : “J’ai une envie de pisser, je te raconte pas. Allez, on se change, on file aux toilettes et on va nager !”
Aya : “Cool ! J’ai hâte”
Inèse : “On prend cette cabine ?”

Horrifiée, Aya prit conscience de la situation. Elle partageait toujours sa cabine avec sa soeur. Et ce matin, elles avaient fait sac commun. Comment allait-elle cacher son accident dans une cabine de vestiaire ?

Aya : “Ha oui, heu… Tu me passes mes affaires ?”
Inès : “Qu’est-ce que tu racontes, je te les passerai dans la cabine. Qu’est ce qui te prend ?”
Aya : “Non, mais c’est que…”
Inès : “Tu me gonfles Aya. T’as quoi depuis tout à l’heure ? Quelle mouche t’a piquée ? Tu te dandines, t’as des sautes d’humeur, tu as été impolie avec ma copine au guichet. Tu vas être comme ça toutes les vacances ?

Ces remontrances touchaient Aya. Inès ne comprenait pas sa détresse, et en même temps comment lui en vouloir. Quelle terrible situation. Son ventre l’avait trahie, et après avoir fait attendre sa soeur ce matin, Aya n’avait pas su contenir son agacement. Cette aimable guichetière ne méritait pas ça c’est vrai. Mais pas plus qu’elle qui était en train de vivre un des pires moments de sa vie. Ces sentiments mélangés lui firent monter les larmes aux yeux. Inès, qui connaissait sa soeur, reconnut tout de suite l’émotion.

Inès : “Excuse-moi soeurette. Allez, viens, on se met au calme. Tu reprends tes esprits et tu me racontes ce qui ne va pas.

En parlant, Inès avait gentiment poussée Aya dans la cabine, qu’elle avait refermée derrières elles.

Inès : “Respire un bon coup, assieds-toi et dis-moi tout.”

“Ne surtout pas m’assoir” pensa Aya. Ca risque de rendre les dégâts encore plus importants.

Aya : “Je reste debout, ça va”
Inès : “OK si tu veux. De toutes façons, elles sont dégueux ces cabines. Le sol est trempé et ça sent le caca…”

Cette remarque innocente arracha un sanglot à Aya. Sa soeur ne le réalisait pas, mais l’odeur ne venait pas de la cabine.

Inès : “Aya, regarde-moi dans les yeux. Calme-toi. Tu sais que tu peux tout me dire !”
Aya : “Oui, je sais…”
Inès : “Alors, il vient d’où ce chagrin ?”
Aya : “Tu n’en parleras à personne, tu me le promets ?”
Inès : “Bah...oui”
Aya : “Inès, j’ai eu un accident.”
Inès : “Où, à Lille ? T’as une voiture là-bas ?”
Aya : “Non, là, tout à l’heure… au guichet.”
Inès : “Quoi, tu as mouillé ta culotte ? Parce que j’en suis pas loin moi ! Ha ha”
Aya : “Non, c’est pas ça. J’ai fait caca...”
Inès : “Dans ta culotte ? Ha merde ! Je comprends ton embarras.”
Aya : “Tu n’en parleras à personne hein ?”
Inès : “Non.. Tinquiètes. Pas avant le repas de Noël !”

Aya ne put s'empêcher d'échapper un nouveau sanglot. Elle n’avait pas du tout le coeur à rigoler. D’autant qu’elle se sentait toujours autant en danger et qu’un spasme pouvait arriver à nouveau à tout moment.

Inès : “Pardon, excuse-moi…. Allez, on se change”
Aya : “Comment je vais faire ?”
Inès : “Bah, je sais pas moi... On va trouver“

Aya commença à se déshabiller. Chaque mouvement demandait de grandes précautions pour ne pas laisser ses selles échapper de sa culotte. Elle commença par enlever son haut et son soutien gorge, puis se résigna à dégrafer sa jupe. Simplement vêtue de sa culotte, alourdie par la masse qui logeait au fond, elle se sentait humiliée. Elle sanglotait en s’activant… 

Aya : “Ne regarde pas stp, je vais mettre ma culotte dans le sac”
Inès : “Ha non, tu ne peux pas faire ça. Le sac va rester dans le vestiaire, ça va dauber et ca va le salir à tous les coups. J’ai mes affaires de toilette dedans !”
Aya : “Je fais comment alors ?”
Inès : “Tu ne peux pas essayer de mettre ton caca dans ton maillot de bain et tu t’en débarrasseras au toilettes ?”
Aya : “Ca me dégoute… Mais je vais essayer…”

Aya entreprit la manoeuvre. Elle baissa sa culotte jusqu’à mi cuisse. Elle avait sous les yeux le résultat de son accident. Un crotte de la taille d’un citron, qui avait pris la forme de la raie de ses fesses. D’une main, elle fit basculer la masse dans le maillot de bain qu’elle tenait de l’autre. Puis, en prenant toutes les précautions, elle passa ses jambes dans le maillot le fit remonter le long de ses cuisses. Elle sentit à nouveau le contact de ses selles avec ses fesses et son vagin. Elle finit par faire remonter le maillot à la taille, puis sur sa poitrine et passer les bretelles. Sa soeur, avait déjà fini de se préparer, et elle se sentit désespérée à cet instant : elle sentait un spasme revenir. Comme le dernier, il arrivait rapidement. Et la sensation de poussée était très forte. Elle passa rapidement sa serviette autour de sa taille pour se déplacer plus discrètement. Elle voulait quitter la cabine au plus vite pour filer aux toilettes.

Inès avait beaucoup de peine pour sa soeur. Elle voulait passer un bon moment en l’amenant à la piscine ce matin, et elle savait que le plaisir de la matinée serait complètement gâché. Elle connaissait suffisamment bien sa petite soeur pour savoir que cette humiliation devant sa grande soeur était insupportable pour elle. Elle se sentait démunie et ne savait quels étaient les mots justes ou les bons gestes pour la réconforter. C’est alors qu’une idée lui traversa la tête. Et si elle décomplexait sa soeur en lui montrant que ce n’est pas si grave. Si elle faisait pipi dans son maillot, devant elle… Ça la soulagerait surement, Inès aussi d’ailleurs qui avait un grosse envie. Elle se mit debout devant la porte de sortie de la cabine et essaya de détendre les muscles de sa vessie.

Aya : “On y va ? Je suis prête”
Inès : “Oui, attends une minute, je veux te montrer quelque chose”
Aya : “Ca ne peut pas attendre ?”
Inès : “Non, ça ne peut pas…”

El liant les actes à sa parole, elle laissa s'échapper dans son maillot de bain un jet d’urine chaude. Le pipi imbiba rapidement le tissu sec de son maillot.

Aya : “Qu’est ce que tu fais ? Je ne comprends pas”
Inès : “Je fais pipi !”

“Mais de quoi parle-t-elle ?” pensait Aya. Elle porta le regard sur l’entrejambe de sa soeur. Le tissu du maillot de bain était mouillé. Le tissu dessinait la vulve de sa soeur, mouillée d’urine. Le spectacle était troublant. Elle ne pouvait pas décrocher ses yeux de sa soeur. Elle imaginait le soulagement, la sensation mouillée et chaude de l’urine qui se répand le long de son vagin.  A sa grande surprise, elle se sentait émoustillée par cette perspective. Elle fut brutalement sortie de ses rêves par une poussée terrible. Son anus s’ouvrait à nouveau, et elle sentait déjà la matière fécale s’engager. Elle luttait pour résister mais sentait que c’était perdu d’avance. Elle n’avait plus qu’un option : foncer aux chiottes, écarter son maillot et enfin de soulager de ces encombrements. Ses muscles étaient complètement épuisés, elle n’avait plus ni la force, ni l’envie de de lutter. Même la honte avait disparu. Une seule chose lui importait : se soulager. Faire caca.
Aya : “C’est gentil Inès, mais faut que j’y aille là”
Inès : “Haaaaaa…. Trop tard… Je ne peux plus m’arrêter”

La vulve mouillée de sa soeur était devenue un véritable robinet. Un flot d’urine continu se répandait dans le maillot d’Inès, remontait devant le long de sa vulve puis derrière, entre ses fesses, et tombait en formant une filet d‘urine.
Inès : “Mon dieu, comme ça soulage… Je suis incapable de m’arrêter”

A ces mots, Aya baissa les armes. Elle ne savait pas si elle le subissait, ou si une part d’elle était d’accord, mais elle laissa son anus s’ouvrir. Elle desserra les fesses et laissa sortir la matière. Un gros étron s'engagea dans son anus. Le sentir sortir procurait un soulagement à Aya qui frôlait le plaisir. Malgré sa rigidité et la tension de son maillot de bain, elle n’avait aucune difficulté à évacuer. Elle était là, en maillot de bain, cachée sous une serviette, en train de soulager dans ses vêtements, pendant que sa soeur pissait… Cette situation était pour le moins inattendue. L’étron qui la faisait tant souffrir finit par se loger au fond de son maillot et le flot s'interrompit. Elle était si soulagée, qu’elle souriait béatement. Sa soeur, elle, n’en finissait pas d’uriner. Aya se surpris à pousser, machinalement, comme sur des toilettes, pour se soulager encore. Elle sentit alors de la matière beaucoup plus molle sortir de son anus. Affolée, elle s’efforça de tout arrêter et n’eut pas trop de difficultés à se contrôler. Inès, qui avait finit d’uriner, rigolait bêtement en regardant sa soeur. Elle sentait que sa pirouette lui avait redonné un peu le sourire.
Inès : “Alors, ça va mieux?”
Aya : “Oui ! Beaucoup mieux. Tu n’as pas idée”
Inès : “Cool. On oublie tout ça alors. Je m’occupe du casier, tu files aux toilettes ?”
Aya : “Bonne idée. On se retrouve au bassin, je veux prendre le temps de me nettoyer”
Inès : “Ca marche”

Inès ouvrit la porte, tourna les talons et fila en direction des casiers. Aya ne put s'empêcher de la regarder s’éloigner. Elle avait cette démarche légère et ses superbes fesses moulées dans son maillot. A l’entrejambe, on voyait clairement la démarcation du tissu mouillé de son maillot de bain bleu. Inès semblait s’en amuser et n’avait aucune honte. En regardant par terre, Aya remarqua que l’urine de sa soeur s’était mélée aux flaques d’eau des baigneurs précédents, et aux traces de chaussures. Le crime passerait inaperçu. Et elle comprit qu’il fallait savoir, parfois, aborder les accidents avec plus de légèreté. Peut-être que sa soeur avait raison. Peut-être que tout ceci n’était pas si grave. Après tout, elle venait de se soulager dans sa culotte, puis dans son maillot de bain… Et la Terre ne s’était pas arrêtée de tourner.

Le coeur allégé, elle quitta la cabine pour rejoindre les toilettes et les douches. En marchant, elle sentait la masse fécale s’étaler, et glisser entre ses fesses. Cette sensation était très étrange. Ce qu’il y avait de plus étrange, c’est qu’elle en pouvait pas s'empêcher de trouver ça agréable. Elle avait les fesses au chaud, et le contenu de son maillot stimulait sa vulve et son anus. L’idée d’avoir de la matière fécale en contact avec son vagin la répugnait, mais la sensation procurée était agréable. C’était une évidence. Aya prit le temps de marcher jusqu’au toilettes, et se surprit à alterner ses démarches. Parfois les jambes écartées, pour sentir la matière pendre dans son maillot, parfois les jambes serrées pour sentir le contact contre sa peau. Elle offrait surement un drôle de spectacle.

Les toilettes de la piscine se trouvaient à proximité des douches. Dans un espace dédié aux WC, trois portes donnaient accès à des cabines de toilettes. Aya s’installa dans celle du fond pour être tranquille. Elle avait en tête de se débarrasser de la masse de matière dans la cuvette, puis de nettoyer autant que possible le maillot et ses parties intimes. Elle referma la porte derrière elle et retira la serviette de ses hanches, qu’elle accrocha au porte-serviette prévu à cet effet. Enfin seule, et à l’abris des regard, elle ressentit un immense soulagement. Les événements qui avaient marqué ces quelques minutes précédentes lui avaient paru une éternité. Elle était enfin seule pour gérer la situation compliquée dans laquelle elle s’était retrouvée. Machinalement, elle s’assit sur les WC, comme elle le ferait habituellement. Ce mouvement provoqua un étalement supplémentaire de la matière. Le tissu de son maillot, tendu par la position assise, avait comprimé la matière qui remontait au dessus de la raie de ses fesses vers son dos. Alors qu’elle réfléchissait à comment s’y prendre pour vider son maillot, elle sentit une chaleur agréable envahir son intimitée.

Aya : “Mince ! Manquait plus que ça...”

La position assise sur les toilettes avait provoqué, comme par réflexe, une miction ! Aya était en train de faire pipi ! Son urine sortait en sifflant de sa vulve et se répandait dans son maillot avant de tomber dans la cuvette des WC avec ce bruit caractéristique. Soudainement rattrapée par l’idée qu’elle était en train de faire pipi dans sa culotte, Aya porta immédiatement la main droite à son entrejambe, comme un réflexe pour contenir sa miction. La main prestement pressée contre son vagin, et l’urine répandant sa chaleur sur son intimité, provoqua chez Aya une vague de plaisir, très intense.

Aya : “Qu’est-ce qu’il m’arrive?”

Aya était toujours aussi dégoûtée par ce qui lui arrivait, mais elle ne pouvait pas nier l’immense plaisir charnel qu’elle éprouvait à cet instant.

Complètement déroutée par la sensation d’urgence et de frustration, puis l'humiliation de son accident, et le réconfort apporté par sa soeur, Aya se sentait comme dans un état psychique second. Presque nue, et à l’abris de sa cabine de WC, elle ressentait une grande légèreté, et sentait une chaleur monter dans son visage. La matière fécale, étalée dans sa raie et pressée par son maillot de bain, réchauffait son arrière et appuyait délicatement sur son anus. Devant, son vagin était inondé par un flot d’urine chaude et sa main appuyait sur sa vulve provoquant des spasmes de plaisir. Sans trop réfléchir, Aya effectuait des va-et-vient avec sa main droite. D’un geste rapide et précis, elle fit tomber la bretelle gauche de son maillot de bain, libérant son sein gauche qu’elle pressait contre elle. Sa main droite effectuant des va-et-vients faisait bouger son maillot de bain, ce qui avait pour effet de faire bouger la matière qui glissait contre son anus. En aplatissant sa main sous elle, Aya fit comme un petit barrage qui conduit son urine chaude contre ses lèvres puis son sphincter. Son corps, encore engourdi par les efforts qu’elle avait dû faire pour se retenir, était envahi par des spasmes de plaisir mélangés à un peu de douleur. Sentir son corps se vider lui procurait une jouissance incroyable. Les spasmes se rapprochaient et s’intensifiaient alors qu’elle se touchait à traver son maillot de bain, toujours en urinant. Elle sentit une grande vague de plaisir se former en elle, et une certaine douleur aussi qui lui  était familière depuis ce matin. C’était une nouvelle envie de faire caca.

Aya : “Tant pis, je suis seule… Je n’ai plus rien à craindre”

Aya redoubla de précision et d'intensité dans ses va-et-vient. Elle sentit un immense orgasme se créer, il était sur le point de l’envahir. L’envie de faire caca était également très forte. Sans réfléchir une seule seconde, Aya poussa. Le flot d’urine s'intensifia. Répartit par sa main, il envahit toute son intimité. Son anus s’ouvrit et déversa au fond de son maillot un jet brutale de matière molle et chaude qu’elle sentait s’étaler le long de sa peau, puis déborder son son maillot et tomber dans les WC. Ce bouquet final offert par ses intestins s'accompagne par la libération de cet immense orgasme. Aya sentit un plaisir inconnu la parcourir. Elle se figea et réprima un cri. Les yeux fermés, une main sur la poitrine et l’autre contre son vagin, elle profita de cette vague qui parcourait tout son corps. Elle n’avait jamais joui comme elle venait de le faire. Jamais un orgasme ne lui avait donné de telles sensations. Et alors qu’elle sortait de l’euphorie de cette situation, elle commença à reprendre ses esprit et à se resituer. Elle sentait son corps enfin vide. Ses intestins étaient soulagés, et sa vessie complètement vidée. Elle sentit son maillot de bain, pendant, alourdi par tout ce qu’elle avait évacué. Aya retira une main de sa poitrine et l’autre de la partie basse de son maillot. Elle sentait son esprit beaucoup plus clair. L’orgasme l’avait débarrassée de la sensation de frustration et de honte. Elle se dit qu’il était maintenant temps de se nettoyer.

Aya se leva. Elle retira la bretelle droite de son maillot de bain pour faire descendre le haut, libérant complètement sa poitrine. Elle prit ses deux mains, et avec précision elle saisit le tissu du maillot le long de ses hanches. En prenant garde à synchroniser ses mouvements, elle fit descendre le maillot de bain. Le tissu ne retenant plus la matière, elle sentit son caca se décoller de ses fesses et tomber au fond du maillot qui formait comme un petit panier. Elle fit glisser le maillot le long de ses jambes et, un pied avant l’autre, réussi à complètement quitter son maillot qu’elle tenait comme un sac avec deux hanses. Elle se retourna et fit basculer la matière fécale dans la cuvette, là où se trouvait déjà ce qui avait échappé au maillot pendant son orgasme. Son caca faisait la taille d’une grosse orange, presque un pamplemousse. Comment avait-elle pu accumuler à ce point ?

Elle tira la chasse, soulagée de voir disparaître ce qui l’avait tant génée… Par chance, la cabine de toilettes était équipée d’un petit lavabo et de savon. Nue, elle entreprit une toilette intime en utilisant l’eau du robinet, le savon et ses mains. L’eau souillée s’écoulait le long de ses jambes, puis sur le carrelage mouillé de la cabine et finissait dans une petite grille d’évacuation. Sans trop d’effort, elle réussit à laver correctement son vagin, ses fesses et son anus, puis ses jambes. Elle était enfin propre, et put s’occuper de son maillot de bain. Le revêtement du maillot était facile à nettoyer. Elle réussit à le laver et pu l’enfiler à nouveau, couvrant son intimité et sa poitrine généreuse. Aya se retourna, et constata avec plaisir qu’il n’y avait aucun moyen de savoir ce qui venait de ses passer dans cette cabine. Les toilettes étaient impeccables, et elle avait suffisamment rincé le sol pour faire disparaître les souillures des sa toilette. Son maillot de bain sentait bon le savon, et elle se sentait propre et fraîche. Elle déverrouilla la porte des toilettes, et rejoint les douches avec la serviette sur l’épaule.

Après une rapide douche, elle rejoint les bassins. Elle n’eut aucun mal à trouver la ligne où nageait sa soeur. Elle connaissait trop bien son style et sa silhouette. Inès avait eu la gentillesse de poser pour sa soeur une paire de lunettes de natation à côté de plot de départ de la ligne. Aya les enfila et attendit que sa soeur la voit. Quand Inès releva la tête à la fin de la longueur, Aya lui fit un signe du pouce en l’air, en souriant : “Tout va bien”. Inès lui répondit par un signe du pouce et reprit aussitôt ses longueurs. Aya plongea élégamment et se sentit glisser dans l’eau. Elle commença, enfin, sa séance de nage en repensant à tout ce qui venait de se passer : ces sensations qu’elle venait de vivre et de découvrir, et qu’elle comptait bien revivre un jour...
Aya et Inès passèrent une heure à nager, alternant les longueurs et des temps de récuéparation pour se réhydrater. Après cette bonne séance de sport, Aya commença à montrer des signes de lassitude à sa soeur aînée. La nage lui plaisait, mais elle trouvait ça vite fatiguant et monotone. Profitant d’une pause de sa soeur, accrochée au plot de départ, Aya interpella sa soeur. 

Aya : “Tu veux continuer longtemps ? Je commence à me lasser.”
Inès : “Non, j’ai ma dose. J’ai bien nagé, et j’avais commencé avant toi, le temps que tu…”
Aya : “Oui, j’ai compris”

Aya interrompit sa soeur. Elle ne voulait pas que quelqu’un d’autre puisse deviner ce qui lui était arrivé. Inès faisait référence au temps qu’Aya avait passé aux toilettes, à “nettoyer” son accident. Si elle avait la moindre idée de ce qu’il s’était passé dans cette cabine… Les deux compères rejoinrent le bord de la piscine et sortir du bassin à l’aide de l’échelle. Aya ressentait cette sensation caractéristique de fatigue liée à la nage. Elle se sentait bien, le corps engourdi par une heure de nage, l’esprit léger et un peu embué par les vapeurs de chlore. Elles firent chemin vers les douches femme qui étaient vide. Le contact de l’eau chaude était très agréable après tout ce temps, le corps plongé dans une eau à 25°C. Elles étaient seules et Inès en profita pour demander discrètement à sa soeur :

Inès : “Comment est-ce que tu t’en es sortie toute à l’heure ? Ca t’a pris un temps fou !”
Aya, scrutant autour d’elle est discrètement : “Oui, ce n’était pas simple…”
Inès : “Tu as lavé ton maillot ?”
Aya : “Je l’ai quitté puis j’ai jeté dans la cuvette ce qui devait l’être.”
Inès : “Tu étais toute nue ?”
Aya : “Bah oui, tu voulais que je fasse comment ?”
Inès : “Oui c’est vrai… Qu’est ce qui t’a pris autant de temps alors ?”
Aya, prenant le temps de préparer un mensonge convainquant : “Bah le temps de me laver, et de nettoyer mon maillot dans le petit lavabo… Puis j’ai été un peu bloquée aux toilettes à nouveau par mes intestins.”
Inès : “Tu as refait caca ?”
Aya : “Oui… Et pas qu’un peu si tu veux tout savoir… Deux jours de constipations, les bons plats de maman et des pruneaux… Je te passe les détails !”
Inès, riant : “Ha ouai… Ca va mieux maintenant ? On va pouvoir rentrer à la maison sans que tu te chies dessus ?”
Aya : “Ha ! Très drôle… Sois sympa Inès… Tu avais dit que ne te moquerait pas… Petite pisseuse !
Inès : “Ha ha”

Aya savait que le meilleur moyen de calmer les moqueries de sa soeur était de ne pas se comporter en victime, mais plutôt de rentrer dans son jeu.

Plus complices que jamais, et après avoir récupéré leurs affaires au casier, Aya et Inès se rendirent dans les cabines de change.

mardi 21 octobre 2014

Se soulager dans son jean dans le jardin

Cette vidéo est aussi une de mes préférées, avec un qualité d'image qu'il faut saluer.
Cette jolie jeune fille (la même qu'avant?) porte un masque blanc pour cacher ses traits. Elle a des idées précises en tête...
Vêtue d'un jean / legging qui met en avant sa superbe silhouette, elle fait dans son froc, purement et simplement : pipi par-ci, petit caca mou par-là, elle alterne les plaisirs en dévoilant régulièrement ses sous-vêtements.
Attention : elle montre et étale de sa main la matière. Si vous n'aimez pas, soyez prévenus !

Une urgence qui finit dans le jean

Ce clip est d'une qualité rare, bien qu'amateur et très court. Une jeune fille très bien formée surgit devant la caméra. Elle a tellement envie de faire caca, qu'elle gémit avant même d'être dans le champ : Oh noooo !
Elle le sait, c'est trop tard.
A peine arrivée devant l'objectif, un délicieux craquement de colique rompt le silence : son jean se remplit. On devine une petit trainée de liquide : surement un peu de pipi quand elle a ouvert les soupapes.
Elle dévoie finalement un superbe cul et des fesses toutes blanches, maculées d'un belle trace de colique : elle a chié à même la toile de son jean car elle ne portait pas de culotte.
Je rêve de la retrouver....

vendredi 17 octobre 2014

On ne laisse pas passer une aussi jolie urgence

Cette jeune fille a tout prévu : la caméra est prête, orientée vers le miroir. Elle n'a plus qu'à se dandiner déseperément à cause d'une envie de caca très très pressante. On peut ressentir sa souffrance et son excitation.
Soudain, la fuite : son caca sort, il a l'air ferme, très réaliste. Un accident qui a été sans doute bine préparé !
J'en veux encore !